À étudier 

Rapport des mathématiques et de la vie -> déjà fait dans le livre de guisiepe Longo : « le cauchemar de prométhée »

Voir lecture sur la philosophie de Bergson dans les notes de lecture 
Voir lecture du livre la gouvernance par les nombres
Montrer la vie de l’évolution de l’histoire des mathématiques. 
Recenser quelques vie de mathématiques vécus : grothendick ou kaviasky ou Giuseppe Longo

Notes

https://iphilo.fr/2019/06/13/les-mains-sales-de-Bergson-mathilde-tahar/

«L’élan est fini (…)Il ne peut pas surmonter tous les obstacles. Le mouvement qu’il imprime est tantôt dévié, tantôt divisé, toujours contrarié, et l’évolution du monde organisé n’est que le déroulement de cette lutte».



Agrégée de philosophie, Mathilde Tahar est enseignante et doctorante en philosophie de la biologie à l’Ecole normale supérieure de la rue d’Ulm, où ses recherches portent sur Bergson, Darwin et l’évolution.

Événements manqués: https://republique-des-savoirs.fr/events/event/seminaire-centre-cavailles-sur-le-vivant-du-2023-2024/

Il serait fructueux de réécrire cette phrase en l’adaptant à la vision de l’évolution de Imanishi. 
Ce pourrait être quelque chose de l’ordre :

«L’élan est une pratique (…) Il ne peut pas surmonter tous les obstacles. Le mouvement qu’il imprime est tantôt dévié, tantôt divisé, toujours (or. Contrarié, I.K ecospiécé, circonstié, cir-constitué, accompagné, acceuilli, remarqué, créateur par l’événement) et l’évolution du monde organisé n’est que le déroulement du souffle de la vie». Il faudrait écrire sur ce « souffle de la vie », le décrire selon une certaine vision japonaise qui empreinterait à celle d’Imanishi er d’Itsuo Tsuda. 

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La rationalité est aveuglante. La seule ombre de la chose aveuglante sont toutes les ombres portées des choses auveuglées. La partie sombre de la science, son ombre est celle de la chose qui l’invente. Mais connaître sa part d’ombre c’est reconnaître la direction à entreprendre. La science actuelle n’a pour direction que sa cécitée ontologique; son angle mort c’est sa part d’ombre. 
Une science inventée avec sa part d’ombre, capable d’entreprendre une action d’équilibre de grande justesse avec l’environnement, la société, le monde et la vie. La science ignore sa puissance de transformation du monde, stade encore primitif de son évolution et en tant que vivant il me tarde de la voir évoluer vers un autre stade de fonctionnement. Des signes encourageants des sciences du vivant et anthropologiques scintillent actuellement.
Une révolution de la science pourrait elle influer sur le monde ? Difficile de ne pas y croire, pourtant personne n’envisage de faire cette révolution, je ne désespère pas de la voir fleurir un jour. La dernière révolution des sciences, celle des lumières, la prochaine peut être celle des numéraires. La révolte des numéraires, de ceux qui refusent tout emprunte numérique pour les plus radicaux à ceux qui remettent en cause la bureaucratie, à ceux qui refusent à employer leur temps pour produire des chiffres (ce refu pour eux à pour nom liberté). 

En vie la bureaucratie !
Quand la biologie infiltrera la bureaucratie, elle en fera son point d’étude permanent pour la défaire et refaire justement, sans heurs, comme un organisme vitale. Faire du vivant sera un jour  possible en science mais ce sera immatériel, fini le découpage du vivant, acte qui a produit quelques ouvrages historiques, faire du vivant ce n’est pas découpé ou imité ou pire fabriquer de la matière, c’est le produire. 
Le produire c’est influer sur tout le vivant, avec le vivant, pour le vivant. C’est ce que doit être une bureaucratie : réellement vivante. Serait-ce possible sans machine ?
Le vivant humain actuelle dépend de ses machines et elles le transforme en colonie d’insectes humains, sorte de lucioles à deux pattes tout aussi terrifiante que le cafard de Kafka. Plus aucun individu ne devrait pouvoir isolément grâce à son capital accumulé décider d’acte de transformation du monde. Comme d’avertir que de nouvelles lumières vont être visible dans le ciel nocturne déjà clignotant des vols de lucioles d’humains. Lorsque la bureaucratie sera vivante, il est difficile d’imaginer qu’elle sera le nouveau rapport avec la technologie, la technologie pourrait elle être à nouveau merveilleuse ? J’apprends de  la révolution de la science à venir pour déconstruire la luciole à l’aube de son humanité. Un simple retour à l’humanité finalement. La bureaucratie doit garantir un rapport humain authentique avec ses semblables et minimiser la vie robotique de la société. 

Empreinte de vie
Les machines fonctionnent à l’aide de vies humaines, plus les machines sont présentes dans une vie humaine plus cette vie humaine est de type machiniste ressemblant à la vie d’un insecte. D’autant que les machines en question sont celles d’une nouvelle ère du progrès technique, c’est l’ère des machines attentionnelle. Ces machines pour fonctionner requiert l’attention humaine permanente en plus de leurs empreintes digitales. Aujourd’hui leurs dessins est entre autre de contrôler, détruire, produire, la fourmilière humaine permettant la croissance de son assemblage matériel. Naître et mourir dans un hôpital est un indice de l’emprise de ces machines, de la première seconde de vie à la dernière, toujours consigné dans une mémoire matériel. Mais ce n’est rien à côté de l’emprise des machines dites attentionnelles. 
Ces machines vampirisent notre attention, nous sommes devenu une ressource énergétique pour leur fonctionnement finale. Faire fonctionner une IA c’est capter notre attention désirante de création, la captation attentionnelle n’est plus celle de l’interactivité sociale, mais celle de la créativité. Du rapport à la machine, il est question de son coût/benefice. S’il est possible d’établir un bénéfice supérieur alors tout doit être mis en œuvre pour sa préservation. La préservation implique un haut degré de respect de la vie. Comment organiser le monde humain avec ses machines qui se préservent ?
Refuser radicalement tout contact avec les machines attentionelles devrait être un droit respectable et respecté. Et un premier pas vers une nouvelle direction pour établir une préservation du savoir humain. 

Ne plus produire des chiffres
La production de chiffre la plus commune des pays energivore, c’est le chiffre de son salaire. Nous échangeons de notre temps de vie pour produire un chiffre qui nous permettra d’organiser notre vie selon ses règles d’usage. Pourquoi ne voudrions nous pas organiser notre vie selon d’autres  règles d’usages ? Les élites devraient sortir la tête de leurs écrans pour enfin voir quelles possibilités fécondent s’offrent à eux.
N’en reste pas moins que la production de chiffres est devenu exponentielle et asservissante grâce au machine binaire. Ne parle t on pas de la nouvelle techno-féodalité ? La production des chiffres binaires est déjà bien étudiée, leur similarité avec l’adn du vivant ne manque pas d’interpeler. Cette production de chaînes binaire a pour finalité de se maintenir en vie en captant l’attention des humains pour s’organiser. Un regard de biologiste de l’évolution sur l’organisation des machines comme espèce proto-vivante. Désirer une vie sans captation binaire de l’attention doit être possible et préservé. Mon grand père n’a jamais vécu l’asservissement actuelle mais il a du déjà produire son chiffre tous les mois toute sa vie d’actif. De son salaire il n’en a rien fait a par subvenir à ses besoins car il était bien occupé à autre chose dans le temps qu’il lui restait pour lui sans chiffres les mains dans la terre. 

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Rationality is blinding, the dark side of science, its shadow. But to know its shadow is to recognize the direction to take. Today's science's only direction is its ontological blindness; its blind spot is its dark side. 
A science with its dark side, capable of undertaking an action of great equilibrium with the environment, society, the world and life. Science is unaware of its power to transform the world, still a primitive stage in its evolution, and as a living being I can't wait to see it evolve towards another stage of functioning. Encouraging signs are currently emerging from the life sciences and anthropology.
Could a revolution in science change the world? It's hard not to believe in it, yet nobody is planning to make this revolution, although I don't despair of seeing it blossom one day. The last revolution of the sciences, that of the Enlightenment, the next may be that of the numeraries. The revolt of the numeraries, from those who refuse all digital borrowing for the most radical to those who question bureaucracy, to those who refuse to use their time to produce figures (which for them is called freedom). 

Bureaucracy lives!
When biology infiltrates bureaucracy, it will make it its permanent point of study, so that it can be dismantled and reassembled as smoothly as a vital organism. Making living matter will one day be possible in science, but it will be immaterial, no longer a matter of cutting up living matter, an act that has produced a few historic works. Making living matter does not mean cutting it up or imitating it, or worse, manufacturing matter, it means producing it. 
Producing it means influencing all living things, with living things, for living things. This is what a bureaucracy should be: truly alive. Would this be possible without machines?
Today's living human beings depend on their machines, and they're turning them into a colony of human insects, a kind of two-legged fireflies every bit as terrifying as Kafka's cockroach. No longer should any individual, thanks to his or her accumulated capital, be able to act in isolation to transform the world. Like warning that new lights are going to be visible in the night sky, already flashing with flights of human fireflies. When bureaucracy is alive, it's hard to imagine what the new relationship with technology will be. I'm learning from the coming revolution in science to deconstruct the firefly at the dawn of its humanity. A simple return to humanity after all. Bureaucracy must guarantee a genuine human relationship with fellow human beings and minimize the robotic life of society.